Découvrez le personnage de Henry Fournier, médecin légiste. - Inscris-toi gratuitement et surfe sans pub !
Fournier est un ancien des forces spéciales, sans déconner.
—Raphaëlle Coste, 2x03
Henry Fournier est joué par Husky Kihal
Nom : Fournier
Prénom : Henry
Profession : Médecin Légiste
Famille :
• Sa femme
• Pepette (son chien)
Henry Fournier est médecin légiste à l'Institut Médico-Légal mais ce n'a pas toujours été le cas. Il a été médecin dans les forces spéciales, c'est un ancien militaire.
Fournier est un homme très pragmatique qui n'apprécie pas être contredit, encore moins par quelqu'un dont ce n'est pas le métier. Cependant, il vérifiera toujours une théorie si il est possible de le faire.
Fournier & Astrid
Quand Raphaëlle se rend à l'Institut Médico-Légal pour avoir le rapport de Fournier, elle tombe sur la femme de la victime. Lorsque celle-ci la prend dans ses bras, Fournier critique le manque de professionnalisme du commandant Coste.
Alors que l'affaire avance, Raphaëlle, accompagnée d'Astrid, lui demande si il est possible de vérifier si la victime a été droguée avec de la scopolamine. Le médecin explique que c'est un produit qui se métabolise très vite et qu'il n'a rien détecté lors des analyses. Astrid lui explique qu'il peut vérifier dans les voies respiratoires de la victime où il devrait encore y trouver des traces. Fournier est vexé des remarques d'Astrid mais procède aux analyses.
Dans la salle d'audiences, Fournier a déjà terminé l'examen de Ludovic Karlishian lorsque le commandant Coste et Astrid arrivent. Pour lui, c'est un cas très simple d'infarctus du myocarde. Astrid remet cette hypothèse en question après avoir visionné une vidéo de la mort de l'avocat. Elle parle d'une mort liée au syndrome de Takotsubo. Fournier leur explique que ce syndrome est rare et est principalement vu chez des personnes âgées, de plus, cette cause est invérifiable. Le commandant Coste rappelle alors à Fournier que la dernière fois qu'il a dit ça devant Astrid, celle-ci lui a prouvé le contraire. Astrid lui explique que c'est bien vérifiable et lui expose même comment faire. Le médecin rétorque qu'il faut pour cela pratiquer une autopsie, Astrid confirme. Raphaëlle demande donc à Fournier de faire une autopsie. Le médecin est contrarié mais procède à l'examen et confirmera la théorie d'Astrid.
Fournier a déjà embarqué le corps de la victime quand Raphaëlle arrive sur la scène de crime. Lorsqu'Astrid et Raphaëlle se rendent à l'Institut Médico-Légal, le médecin leur explique que l'homme est mort d'une hémorragie, lié aux coups de couteau reçus. Quand Raphaëlle lui demande si les analyses toxicologiques ont été réalisées, il leur indique que oui, simplement un peu d'alcool, pas de scopolamine, même si ça n'aurait pas eu de sens, il a vérifié. Raphaëlle lui demande alors de faire une recherche pour du LSD. Le légiste commence à discuter la requête avant d'abandonner et de lancer les analyses. Il partage également les résultats reçus par rapport à d'autres taches de sang.
Fournier examine le corps de l'homme et indique à l'équipe la trajectoire de la balle, impossible, d'après les témoins.
Fournier termine d'examiner le corps de la victime dans le Onsen où il fait très chaud quand Raphaëlle et Astrid arrivent. Astrid fera très rapidement remarquer qu'il lui manque le petit doigt, élément déjà remarqué par Fournier qui indique également qu'ils ne l'ont pas retrouvé. Astrid parle d'un yubitsume. Fournier ironise en disant qu'Astrid lui avait manqué et lui demande plus d'informations sur le yubitsume. Plus tard, quand une autre victime est découverte, il examine le corps, cette fois, la cause de la mort est simple : un sabre planté dans le ventre.
Astrid se rend à l'Institut Médico-Légal après les heures de service pour échanger avec le docteur Fournier, il y a quelque chose qui la dérange sans qu'elle sache mettre le doigt dessus. Founier s'excuse de l'avoir fait venir en pleine nuit. Il explique ensuite que Delattre, le légiste ayant examiné le corps, est un con mais un bon légiste. Il explique cependant que ce que lui-même a vu, Delattre n'aurait pas pu le voir. Astrid souhaite savoir pour elle, elle l'a vu. Fournier se confie alors sur son passé, il n'a pas toujours été médecin dans le civil, il a été médecin dans l'armée, dans les forces spéciales. Il explique également que peu de monde est au courant puisqu'il n'en parle jamais. Ce passé lui a permis d'apprendre à remarquer une plaie faite par un professionnel, ce à quoi ils sont confrontés ici. Il explique alors la différence entre les coups donnés dans une dispute et ceux donnés par quelqu'un qui sait tuer.
Alors qu'il est en train d'embarquer le corps, Fournier est interrompu par Astrid et Raphaëlle. Celui-ci leur explique qu'il s'agit d'un simple accident domestique. Astrid demande alors comment, si la victime est morte sur le coup à la chute, celui-ci a pu porter la main à ses oreilles. Elle a effectivement raison. Fournier appellera Raphaëlle en plein interrogatoire pour lui demander de passer à l'Institut Médico-Légal. Quand Raphaëlle arrivera énervée, celui-ci se mettra à souffler en l'entendant : non ce n'est pas un meurtre, la victime est morte d'une rupture d'anévrisme, ce qui a provoqué sa chute. Il conclura pour elle : pas de meurtre, pas de meurtrier. Il demandera également à Raphaëlle de dire à Astrid que c'est lui qui avait raison.
Lorsqu'un second corps est retrouvé à la Maison de la Radio, Fournier conclut de nouveau à un accident, cette fois, c'est un infarctus. L'homme a récemment été opéré du coeur et tous les signes physiologiques le confirment. Quand Astrid remarquera quelque chose et quittera les lieux, Fournier ira voir avec Raphaëlle ce que la documentaliste a bien pu observer. Alors qu'ils ignorent ce qu'est ce symbole, Raphaëlle le charrie en lui disant qu'il s'agit du signe que c'est son diagnostic qui n'est pas le bon : une victime d'accident qui laisse un message, ce n'est pas cohérent. Fournier fera remarquer à Raphaëlle que c'est une obsession chez elle d'avoir affaire à des assassinats.
Fournier explique à Raphaëlle qu'il avait raison, l'homme avait une valve mécanique au niveau du coeur. Il semble que la valve se soit grippée : c'est la valve qui l'a tué. Il sera très vexé quand Raphaëlle recevra un message indiquant que c'est la musique qui a tué l'homme.
Astrid expose sa théorie à Fournier : le module à infrason aurait provoqué la rupture d'anévrisme de la première victime et aurait fait se gripper la valve de la seconde. Il confirme que médicalement, l'hypothèse est plausible et explique même le saignement des tympans. Il s'avoue alors vaincu : mademoiselle Nielsen 1, Fournier 0. Astrid lui répond qu'ils sont à égalité, que sans lui, elle n'aurait pas réussi à assembler tous les éléments sans la précision de ses diagnostics. Fournier la remercie alors. Le légiste ne s'arrête pas là, il leur explique que tout n'est pas aussi simple : la première victime prenait un traitement antidépresseur, traitement qu'il n'aurait pas pu prendre s'il se savait atteint d'un anévrisme, si la victime ignorait sa pathologie, le meurtrier ne pouvait pas en avoir connaissance non plus.
Fournier examine le corps de la victime, partiellement brûlée, couverte d'amulette. Il découvre avec stupeur que la femme vient d'accoucher.
Fournier échange avec un confrère à l'hôpital sur l'état de santé d'un suspect. Il tente d'interrompre à plusieurs reprises Raphaëlle lorsque celle-ci méprend le médecin pour un membre de la famille. Fournier questionne le médecin sur les déclencheurs liés au suspect et à sa crise.
Raphaëlle se rend à l'Institut Médico-Légal avec Astrid pour avoir le rapport de Fournier. Celui-ci leur indique que leur victime a été empoisonnée avec une plante hallucinogène. La dose administrée était très forte. Astrid demande confirmation à Fournier à propos du temps de latence du poison. Celui-ci confirme que le poison a un délai de latence assez court, moins d'une heure.
Fournier examinera la seconde victime, il trouve la scène de crime inhabituelle : Astrid n'est pas là. Raphaëlle le charrie en le rassurant sur le fait qu'il est capable de faire l'examen sans elle. Il expose alors la cause du décès à Raphaëlle, utilisant des termes médicaux que cette dernière ne comprend pas. Elle lui demande alors de traduire ses conclusions.
Raphaëlle appelle Fournier pour lui parler de l'affaire. Le médecin confirme que l'homme est mort par pendaison. Il lui indique aussi qu'il n'y a pas de traces d'un autre ADN que celui de la victime et de l'un de ses proches.
Lorsque tous les membres du groupe de soutien d'Astrid et l'équipe de la brigade tiennent tête à Mathias Forest, Fournier joue les spectateurs. N'ayant joué aucun rôle dans cette affaire, il voulait simplement assister à cela, en tant qu'ami.
Fournier est perplexe lorsqu'il examine le corps de la victime. En effet, il a des symptômes mais ces derniers ne correspondent pas entre eux. Après l'énonciation de tous les éléments, Astrid lui indique qu'il a donc défini la cause de la mort. Le médecin insiste, il n'y a qu'un seul diagnostic qui corresponde : avoir été frappé par la foudre. Or il n'y a pas eu d'orages depuis des mois. Leur conclusion est alors que l'homme a été foudroyé, sans foudre.
Après avoir procédé à un examen plus approfondi, Fournier appellera Raphaëlle pour lui demander de venir, avec Astrid. Les deux femmes se rendent alors à l'Institut Médico-Légal pour obtenir le rapport du légiste. Celui-ci a découvert de nouveaux éléments et voudrait l'avis d'Astrid avant d'en tirer des conclusions. Il a découvert des traces causées par de la soude sur la joue de la victime. Lorsqu'Astrid lui indique que c'est un très bon conducteur, Fournier et elle en arrivent à la même conclusion. Leur victime a donc été aspergée avec une solution à base de soude avant d'être électrocutée, provoquant tous les symptômes découverts jusque-là.
Fournier examine le corps du religieux assassiné, il parait sûr de lui concernant l'arme du crime. Nicolas explique alors qu'ils ont retrouvé l'arme au pied du corps. Fournier leur indique cependant que la mort n'a pas été immédiate. Lorsque Raphaëlle questionne la réaction de la victime qui a essuyé l'arme pour protéger son meurtrier, Fournier suggère, naïvement, qu'il aurait pu vouloir protéger Dieu.
Après avoir examiné le corps, Fournier explique que l'homme porte des stigmates, signe d'une crucifixion passée de la victime, volontairement ou par châtiment.
Dans les ruines, Fournier examine le squelette. Quand Astrid le contredit sur la possibilité que la jeune femme qui a été retrouvée proche de la victime soit son assassin, Fournier lui indique qu'il a un doctorat en anthropologie et qu'il a fait sa thèse sur la datation osseuse et qu'il est sûr de lui : la victime est là depuis au moins vingt ans. Astrid lui fait alors sortir le crâne pour lui montrer que la pointe dans le crâne de la victime correspond à l'arme que tenait la jeune fille.
Lorsque Raphaëlle ramène un shaman à la morgue, Fournier est sceptique sur les méthodes de l'homme.
Fournier examine une seconde victime, assassinée par la même arme après avoir été droguée.
Quand Raphaëlle et Astrid débarquent à l'Institut Médico-Légal pour voir le corps d'un homme, mort dans un hôpital psychiatrique, Astrid fait remarquer à Fournier que les blessures de l'homme ne sont pas cohérentes avec la mort annoncée, ce que le légiste confirme.
Astrid fait appel à Fournier lorsqu'elle suspecte avoir trouvé quelque chose. Le légiste se rend donc sur place et examine le corps récemment enterré. Le médecin légiste précise qu'il n'est pas vétérinaire légiste. Il confirme que le chat a été empoisonné et qu'il est mort depuis quelques jours.
Fournier retrouve l'équipe sur la scène de crime, il les informe de la cause du décès, évidente, l'homme a été frappé avec une statuette posée à côté de lui.
À l'IML, le médecin légiste débute son autopsie, après les constatations externes, il ouvre la victime et note un gonflement anormal de l'œsophage. Il pratique alors une incision et découvre avec surprise L'Œil du Dragon, le diamant volé. Il n'a pas le temps de réagir lorsqu'il se fait violemment agresser.
Après cinq points de suture, Fournier est tout de même capable de donner une description précise de son agresseur qui sera par la suite facilement identifié par l'équipe.
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